mercredi 21 janvier 2009

Tout ce temps que je croyais perdu, se cachait dans le secret de mes nuits, travaillait sans relâche à l'ombre de mes désirs. Et moi à l'aube de mes rêves, je n'ai plus sommeil. Face à mes vieilles peurs, je veille, comme une jardinière qui espère le printemps, une chasseresse guettant sa proie, toujours j'attends...

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